
Tubize, située à vingt kilomètres de la capitale de l'Europe, est destinée à devenir - comme Braine-l'Alleud, Waterloo, Braine-le-Château - une ville dortoir où il fait bon vivre.
Tubize désire changer son image de ville industriellement sinistrée !
Nous invitons les Bruxellois à acheter un des 240 appartements qui seront construits sur le site de Fabelta, à 150 mètres de la gare.
Air pur garanti, sans poussière et sans nuisance sonore !!! - Mensonges les vents transporteront bien la pollution produite par les émanations de l'entreprise Cetraval (voir autre rubrique), de l'évaporation produite par les boues de draguage traitées sur le site du Vraimont ainsi que les poussières (de Gralex) à plusieurs kilomètres.
Enclavé d'une part par le village de Clabecq, d'autre part par le nouveau lotissement de commerces et d'habitations et pire encore à 50 mètres de la rue des Forges et de la rue de la Déportation ce nouveau port de Tubize (Clabecq) - équipé d'une trémie - est offert gracieusement à Gralex (carrières de porphyre de Quenast) et accessoirement à Gobert (matériaux de construction) - (3 à 4 millions d'Euros - env. 150 millions de francs). Certainement pas à Cetraval, qui sera installé 200 mètres avant la plateforme multimodale.

Non seulement les pouvoirs publics dépoluent les sites industriels achetés pour le francs symbolique mais offrent des nouvelles infrastructures spécialement équipées à Gralex (société privée).
Quelles seront les bénéfices socio-économiques pour la commune ?
Combien d'emplois seront créés ?

Ci-dessus : La nouvelle trémie. Le wagon déverse les porphyres dans la trémie et un tapis roulant transporte ces matériaux directement vers la péniche.
Ci-dessous : Le village de Clabecq, sur l'autre rive du canal.
